L’Alaska continent immense qui fait 3 fois la taille de la France avec 3 800 km d’est en ouest, 2 300 km du nord au sud, pour une populations de moins d’un million d’habitants mais qui abritent une tout autre population comme, 150 000 espèces orignaux, 110 000 ours noirs, 100 000 glaciers et 35 000 grizzlys. Ce sont les Aléoutes qui ont donné son nom à l’Alaska – un nom à sa mesure, signifiant « grande terre!!
Au XIXe siècle les Russes vinrent conquirent la région pour sont immense réservoir de fourrures. Pour les Américains qui vinrent ensuite, l’espoir d’un nouvel enrichissement rapide, dans les plages de graviers des rivières aurifères a la chasse a l’or! Dans les années 1900, l’Alaska devinrent la destination rêver pour espérer une vie meilleur et devenir riche! C’est ainsi que l’Alaska se peupla et gagna son surnom actuel : la « dernière frontière ».
Ce bout du continent a étais pendant longtemps le théatre d’exploitation et de destruction! Pourtant, dès 1980, le président Carter mit en réserve d’un trait de plume 40 millions d’hectares de terres vierges pour les générations futures. Les débats furent tendu et difficiles mais tous, aujourd’hui, apprécient ces espaces préservés.
De l’emblématique mont McKinley (6 194 m) aux glaciers bleutés se déversant dans le Prince William Sound, mais encore des plages sauvages de l’île de Kodiak aux forêts profondes de l’île Amirauté, domaine des ours, des saumons et des aigles chauves, c’est la nature que l’on vient rencontrer en Alaska. Une nature dont la virginité n’a que peu d’égale. Une nature où s’évanouissent tous les bruits du monde développé.